Antoine Léger
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Sénateur canadien | |
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Député à l'Assemblée législative du Nouveau-Brunswick |
Naissance | Memramcook |
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Décès | (à 69 ans) |
Nom dans la langue maternelle | Antoine Joseph Léger |
Nationalité | canadienne |
Formation | Collège Saint-Joseph |
Activités | Avocat, homme politique, écrivain |
Enfant |
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Antoine Léger (1880-1950) est un avocat, un écrivain et un homme politique canadien du Nouveau-Brunswick.
Avant la politique
Antoine léger naît le à Memramcook, au Nouveau-Brunswick. Il suit des études au Collège Saint-Joseph puis à l'école normale de Fredericton. Il intègre ensuite le Barreau du Nouveau-Brunswick en 1907 et entame une carrière d'avocat à Moncton[1]. Son fils Camille Léger est un prêtre pédophile, objet du documentaire Le Silence (2020)[2],[3].
Carrière politique
Léger s'intéresse à la politique et se présente aux élections législatives. Il est tout d'abord battu en 1917 mais entre finalement à l'Assemblée législative du Nouveau-Brunswick le et gardera son siège de député de la circonscription de Westmorland jusqu'au . Conservateur, il occupe durant cette période les fonctions de Secrétaire-trésorier provincial et de Greffier de la Couronne.
Antoine Léger est nommé sénateur sur avis de Richard Bedford Bennett le et le reste jusqu'à sa mort, le .
Écrivain
Outre un certain nombre d'articles et de nouvelles, Antoine Léger a également écrit quelques livres, notamment :
- Les Grandes lignes de l'histoire de la Société l'Assomption (1933)
- Elle et lui, tragique idylle du peuple acadien (1940)
- Une Fleur d'Acadie, un épisode du grand dérangement (1946)
Liens externes
- Notices d'autorité :
- VIAF
- ISNI
- LCCN
- WorldCat
- « Antoine Léger — Fiche de parlementaire », Parlement du Canada
- Université de Moncton
Notes et références
- ↑ « Antoine Léger », sur Société culturelle de la Vallée de Memramcook (consulté le )
- ↑ Zone Justice et faits divers- ICI.Radio-Canada.ca, « Scouts, baignade et fanfare : comment le prêtre Camille Léger attirait ses présumées victimes », sur Radio-Canada.ca (consulté le )
- ↑ « Le silence », sur APFC (consulté le )
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