Application lifecycle management

Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

Le fond de cet article sur l'informatique est à vérifier ().

Améliorez-le ou discutez des points à vérifier. Si vous venez d’apposer le bandeau, merci d’indiquer ici les points à vérifier.

Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

Cet article ne cite pas suffisamment ses sources ().

Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».

En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?

Cet article est une ébauche concernant l’informatique.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.

Consultez la liste des tâches à accomplir en page de discussion.

Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voir ALM.

L'application lifecycle management ou ALM est le processus global de gestion du cycle de vie d'un logiciel[1].

Ce terme couvre l'ensemble des moyens nécessaires au développement ou à la maintenance d'une application[1]. Cela concerne les activités d'ingénierie logicielle comme les activités de gestion de projet.

Ainsi, ce terme englobe les outils pour faciliter des activités logicielles telles que la spécification des exigences et leur validation, l'architecture, la conception, l'implémentation (codage), l'intégration, la vérification (incluant les tests notamment), les déploiements ; ainsi que des outils à caractère transverse tels que la gestion de configuration, la gestion des évolutions ou encore la gestion de projet et les tableaux de bord (monitoring/reporting), etc.

Outils

Il existe de nombreux outils de gestion du cycle de vie d'un logiciel :

  • Micro Focus ALM (en), anciennement HP ALM, anciennement Quality Center (et précédemment Test Director) édité par HP (ALM)[2]
  • Polarion ALM[3]
  • Jira
  • Kalifast[4]
  • Genexus
  • Azure DevOps (anciennement Visual Studio Team Services) (offre cloud)[5]
  • Visual Studio Team Foundation Server (on premise)[6]
  • Tuleap
  • Squash
  • Kalisseo
  • SAP Solution Manager (SolMan)
  • XQual[7]

Les outils de gestion de configuration les plus sophistiqués incluent ainsi la gestion des changements (anomalies ou évolutions), la gestion des livraisons, des fabrications, des déploiements, et parfois les liens avec les exigences et les tests.

Notes et références

  1. a et b Application lifecycle management : gage de succès des projets de développement (introduction), sur le site journaldunet.com
  2. Application lifecycle management, sur le site hp.com, consulté le 13 janvier 2016
  3. (en) Polarion® ALM™, sur le site polarion.com, consulté le 13 janvier 2016
  4. Présentation, sur le site kalifast.com, consulté le 13 janvier 2016
  5. (en) « Azure DevOps Services », sur microsoft.com (consulté le ).
  6. https://www.visualstudio.com/products/tfs-overview-vs
  7. « XStudio Test Management », sur www.xqual.com (consulté le )

Articles connexes

  • Logiciel
  • Cycle de vie dans différents domaines
  • icône décorative Portail de l’informatique