Astrid an Huef

Astrid an Huef
Fonction
Professeure (en)
Université d'Otago
Biographie
Naissance
KarlsruheVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalités
Formation
Dartmouth College (doctorat) ()
Université de NewcastleVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Mathématicienne, professeureVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Membre de
Directeur de thèse
Dana Peter Williams (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Distinction

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Astrid an Huef est une mathématicienne néo-zélandaise d'origine allemande, professeure à l'Université Victoria de Wellington. Ses intérêts de recherche incluent l'analyse fonctionnelle, les algèbres d'opérateurs et les systèmes dynamiques. Elle est présidente de la Société mathématique de Nouvelle-Zélande de 2016 à 2017.

Éducation et carrière

An Huef est née à Karlsruhe. Lorsqu'elle a 13 ans, sa famille s'installe en Nouvelle-Zélande où elle est inscrite à la Wellington High School, puis en Australie en 1985[1]. Elle finit ses études secondaires à Toronto, dans les Nouvelle-Galles du Sud, puis obtient son diplôme en informatique et en mathématiques à l'université de Newcastle. Elle prépare un doctorat au Dartmouth College, à Hanover, et soutient en 1999 une thèse intitulée « Transformation-Group C*-Algebras With Bounded Trace », dirigée par Dana Peter Williams[1],[2].

Elle enseigne à l'université de Denver, puis à l'université de Nouvelle-Galles du Sud à partir de 2000, avant d'être nommée professeure, titulaire de la chaire de mathématiques pures à l'Université d'Otago de 2008 à 2017[1]. Elle coordonne la communauté Women in Mathematics de la Société mathématique de Nouvelle-Zélande[3].

Elle est présidente de la Société mathématique de Nouvelle-Zélande de 2016 à 2017[1],[4].

Travaux

Ses intérêts de recherche incluent l'analyse fonctionnelle, les algèbres d'opérateurs et les systèmes dynamiques[5]. Elle a notamment travaillé sur les espaces localement de Hausdorff (en).

Distinction

Astrid An Huef est élue membre de la Société royale de Nouvelle-Zélande en 2019[6].

Publications

  • Regularity of induced representations and a theorem of Quigg and Spielberg.
  • Lisa Orloff Clark, Astrid an Huef et Iain Raeburn, « The equivalence relations of local homeomorphisms and Fell algebras », New York Journal of Mathematics, vol. 19,‎ , p. 367–394 (MR 3084709, lire en ligne).

Références

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Astrid an Huef » (voir la liste des auteurs).
  1. ↑ a b c et d Miguel Moyers, « Profile: Astrid an Huef », NZMS Newsletter, no 127,‎ , p. 11-12 (lire en ligne)
  2. ↑ (en) « Astrid an Huef », sur le site du Mathematics Genealogy Project
  3. ↑ « Association of women in mathematics nz »
  4. ↑ (en) « Administration and Council », sur New Zealand Mathematical Society (consulté le ).
  5. ↑ (en) « Academic Mathematics Staff », sur University of Otago (consulté le ).
  6. ↑ « Researchers and scholars at the top of their fields elected as Fellows », Royal Society Te Apārangi, (consulté le )

Liens externes

  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata :
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  • Ressources relatives à la rechercheVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Mathematics Genealogy Project
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