Bâtons, Chiffres et Lettres

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Bâtons, chiffres et lettres
Auteur
Raymond QueneauVoir et modifier les données sur Wikidata
Date de parution
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Éditeur
Éditions GallimardVoir et modifier les données sur Wikidata

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Bâtons, chiffres et lettres est un essai sur le langage de Raymond Queneau publié en 1950 aux éditions Gallimard.

Résumé

La langue française se partage entre la langue écrite et la langue parlée qui s'éloignent de plus en plus. La première a remplacé le " francien " vers le XVe siècle, la seconde, en cours d'élaboration pourrait s'appeler le " néo-français ". En évoluant, le langage ressemble de moins en moins au français écrit qui s'est élaboré à partir du latin, devenue une langue morte. Le travail de l'écrivain français est de contribuer à cette évolution « par son œuvre qui doit être une maïeutique linguistique. »

Dans Bâtons, chiffres et lettres, Raymond Queneau pose pour la première fois le problème de la généralisation de la sextine, qu’il connaissait par le comte Ferdinand de Gramont. Il propose alors une permutation pour une «octine»[1].

Références

  1. Sandrine Bédouret-Larraburu, « Un exemple de forme fixe : la n-ine », Poésie. Méthode et nombre,‎ , p. 1 (HAL hal-02082948, lire en ligne, consulté le )

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