Daniel Pelletti

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Daniel Pelletti
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Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata (75 ans)
La LouvièreVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
belgeVoir et modifier les données sur Wikidata
Activité
PeintreVoir et modifier les données sur Wikidata
Maître
Gustave CamusVoir et modifier les données sur Wikidata
Élève

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Daniel Pelletti (Haine-Saint-Paul, ) est un peintre belge. Il est directeur de l'École des Beaux-Arts de Braine-l'Alleud de 1996 à 2010[1].

Biographie

Très attaché à La Louvière, « ville surgie du néant avec la révolution industrielle »[2], il y a ses racines : son arrière-grand-mère habita au coron dit des Noirs Pignons à Braine-l'Alleud, La Louvière ou Braine-l'Alleud[pas clair]. De là aussi son amour pour ce coin de terre avec ses dimensions spirituelles ou intellectuelles puisque c'est aussi de là que surgit, dans l'entre-deux-guerres, le surréalisme wallon travaillé par son utopie sociale d'un communisme pur[réf. nécessaire].

Il a mis au centre de son œuvre le terril en lequel il voit le symbole de l'homo faber et de la création des œuvres de l'esprit et du corps. Élève à Mons de Gustave Camus, ami de Jean Louvet. Qui aime à se décrire comme un écrivain engendré par les luttes sociales, le mouvement de l'histoire et qui dit de lui : « C'est en regardant les grandes toiles au « Forst» à La Louvière que j'ai compris qu'un terril, c'est plus qu'un tas de cendres[3].». Pelletti a été un militant de gauche engagé que la chute du mur de Berlin est venue démotiver. Il met en cause les rapports qui mènent à l'exploitation, l'inertie devant le déchirement des sociétés, les écarts entre dominants et dominés[réf. nécessaire].

Commentaires

Paul Caso écrit de lui : « L'art wallon possède certainement en Daniel Pelletti [...] une individualité qui n'a cessé de renforcer son autorité depuis ses débuts, en 1974, dans la lignée de l'ancien groupe montois Maka[4]. »

Expositions personnelles

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  • 2020 : Daniel Pelletti : Peintures 1966-1974, École des Arts de Braine-l'Alleud, Belgique.

Élèves

Notes et références

  1. Pierre Lagneaux, « Pelletti s'en va, Batens arrive », L'Avenir,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. Galerie Nardone, Bruxelles « a city that appeared out of the blue after the industrial revolution »
  3. Jean Louvet, « la peinture de Daniel Pelletti » (consulté le ).
  4. Paul Caso, « Daniel Pelletti », Le Soir,‎ (lire en ligne, consulté le ).

Bibliographie

  • Serge Goyens de Heusch (dir.), XXe siècle. L'art en Wallonie, Bruxelles/Tournai, Dexia/La Renaissance du livre, (ISBN 2-87193-284-0 et 2-8046-0548-5), p. 364.
  • Paul Piron, Dictionnaire des artistes plasticiens de Belgique des XIXe et XXe siècles, vol. 2 : L-Z, Ohain-Lasne, Éditions Art in Belgium, (ISBN 2-930338-11-3), p. 273.

Liens externes

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