Hélie de Noailles
L'admissibilité de cette page est à vérifier ().
Motif : sources secondaires centrées?
Vous êtes invité à compléter l'article pour expliciter son admissibilité, en y apportant des sources secondaires de qualité, ainsi qu'à discuter de son admissibilité. Si rien n'est fait, cet article sera proposé au débat d'admissibilité un an au plus tard après la mise en place de ce bandeau.- Archive Wikiwix
- Bing
- Cairn
- DuckDuckGo
- E. Universalis
- Gallica
- G. Books
- G. News
- G. Scholar
- Persée
- Qwant
- (zh) Baidu
- (ru) Yandex
- (wd) trouver des œuvres sur Wikidata
1. | Préciser le motif de la pose du bandeau. | Précisez le motif de la pose du bandeau en utilisant la syntaxe suivante : {{admissibilité à vérifier|date=septembre 2024|motif=remplacez ce texte par le motif}} |
---|---|---|
ou | Créer l'espace de discussion. (cette méthode est préférable) | Créez une section "Admissibilité" en page de discussion de l'article en y précisant le motif de la pose du bandeau. Dans ce cas, utilisez la syntaxe suivante : {{admissibilité à vérifier|date=septembre 2024|motif=pdd}} |
2. | Informer les utilisateurs concernés. | Pensez à avertir le créateur de l'article, par exemple, en insérant le code ci-dessous sur sa page de discussion : {{subst:avertissement admissibilité à vérifier|Hélie de Noailles}} |
Naissance | (81 ans) Boulogne-Billancourt |
---|---|
Nationalité | française |
Formation | École nationale d'administration (- |
Activités | Diplomate, homme d'affaires |
Père | François Agénor Alexandre Hélie de Noailles (en) |
Mère | Charlotte de Caumont La Force (d) |
Enfant | Emmanuel de Noailles (d) |
modifier - modifier le code - modifier Wikidata
Hélie Marie Auguste Jacques Bertrand Philippe de Noailles, né le à Boulogne-Billancourt, est un diplomate et responsable d'entreprise français.
Biographie
Origines et formation
Hélie de Noailles est le fils de François Agénor Alexandre Hélie de Noailles (1905-2009) et de Charlotte de Caumont La Force (1917-2002).
Après des études au Lycée Saint-Jean-de-Passy, il obtient une licence en droit de la faculté de droit de Paris et le diplôme de l'Institut d'études politiques de Paris avant d'intégrer l'École nationale d'administration en 1967.
Carrière
À la sortie de l'ENA, il choisit la diplomatie et il est affecté au service de coopération économique du ministère des Affaires étrangères (1969-1972).
Après un bref passage au cabinet du Premier ministre en qualité de chargé de mission (1972), il entre à l'Office de radiodiffusion télévision française (ORTF) comme directeur de cabinet des présidents-directeurs généraux Arthur Conte puis Marceau Long, puis du président de FR 3, Claude Contamine.
Il rejoint ensuite, en qualité de conseiller technique, les cabinets d'André Rossi, ministre du Commerce extérieur (1976-1978), puis de Jean-François Deniau, ministre du Commerce extérieur (1978-1981) puis ministre des Réformes administratives (1981).
Les élections de 1981 le renvoient au Quai d'Orsay. Il est affecté en qualité de deuxième conseiller à l'ambassade de France aux États-Unis (1982-1986). À son retour, il devient directeur du développement du groupe Perrodo (1986-1988) puis président-directeur général de Kelt Énergie France (1988-1992) et enfin directeur à la Maison Lazard et Cie (1990-1996).
Il est président, puis président d'honneur en 2014, de la Société française des Fils de la Révolution américaine[1].
De 2001 à 2008, il est maire de la commune d'Épinay-Champlâtreux, succédant à son père François de Noailles, maire de 1932 à 2001.
En 2009, à la mort de son père, il lui succède comme 10e duc de Noailles.
Vie privée
Le , il épouse au château de Champlâtreux Nadège Gonin (1945-2014). Ils ont trois enfants:
- Julie Marie-Christine Françoise (née le à Boulogne-Billancourt)
- Marie-Alicia Eugénie Charlotte Blandine (née le à Boulogne-Billancourt)
- Emmanuel Paul Louis Marie, duc d'Ayen (né le à Washington)
Décoration
Il est chevalier de l'ordre national du Mérite.
Voir aussi
Source
- Who's Who in France, édition 2002-2003, Levallois-Perret, Éditions Jacques Lafitte
Notes et références
- ↑ Conseil d'administration sur le site de la SAR.
- Portail de la politique française