Liste de personnalités liées à La Chapelle-Saint-Mesmin
Article principal : La Chapelle-Saint-Mesmin.
La liste de personnalités liées à La Chapelle-Saint-Mesmin recense les personnalités qui sont nées, mortes, ont vécu ou ont fortement influencé la ville de La Chapelle-Saint-Mesmin située dans le département du Loiret en région Centre-Val de Loire.
Les maires de la commune ne sont pas listés dans cet article.
VIe siècle
- Saint Mesmin l'ancien ou Maximin de Micy, 2e abbé (510-520) du monastère de Saint-Mesmin de Micy. Il traversa le fleuve pour aller terrasser le dragon (symbole du paganisme) qui, selon la légende, vivait dans la grotte située sous la villa Béraire (premier nom de La Chapelle Saint-Mesmin) à l'emplacement actuel de l'église église Saint-Mesmin.
XVIIIe siècle
- Aignan-Thomas Desfriches (1715-1800), seigneur de la Cartaudière, dessinateur français, auteur de plusieurs gravures de paysages Chapellois[1] ;
- Jean-Baptiste Britard, dit Brizard (1721-1791), acteur de la Comédie-Française, et professeur de mademoiselle Raucourt, fit de fréquents séjours à La Chapelle Saint-Mesmin[2]. Il s'y retire de 1786 à sa mort[1],[3] ;
- Armand-Anne-Auguste-Antonin Sicaire de Chapt de Rastignac (1727-1792), religieux et homme politique, abbé commendataire de l'abbaye de Micy, seigneur de la paroisse de La Chapelle-Saint-Mesmin, député du clergé aux États généraux de 1789 pour le bailliage d'Orléans. Il est arrêté et emprisonné le et est l'une des victimes des massacres de septembre, quelques jours plus tard ;
- Denis Robert de Massy (1736-1794), avocat, bailli de Saint-Mesmin, suppléant de député aux États généraux de 1789 au titre du bailliage d’Orléans ;
- Mathieu-Augustin Cornet (1750-1832), homme politique français sous le Directoire, le Consulat, le Premier Empire, la Restauration et la monarchie de Juillet, fit l'acquisition de la maison du Grand-Courant et vécut à La Chapelle de 1814 à 1816[4] ;
- Françoise-Marie-Antoinette Saucerotte dite Mademoiselle Raucourt (1756-1815), actrice française, habita le château des Hauts sous le Premier Empire (de 1801 à 1815[5]).
XIXe siècle
- Jean-Claude Benoît du Sablon (1763-1848), dessinateur amateur et auteur de pièces de théâtre[6], décédé au bourg de La Chapelle le [7], résidait dans le « castel gothique », situé à l'emplacement du château des Tourelles[8] ;
- Eugène-François Vidocq (1775-1857[9]), bagnard, indicateur de police, policier, entrepreneur et enfin détective privé, a vécu à la belle saison, les 15 dernières années de sa vie, dans sa propriété des bords de Loire à La Chapelle, non loin de la place du Bourg. Il la vendit peu de temps avant sa mort. Cette même-villa avait été à la fin du XVIIIe, la propriété de l'acteur de théâtre Brizard[10],[11] ;
- Louis Ripault (1775-1823), philologue et orientaliste français habita le petit château qui héberge l'actuelle mairie. Sa tombe se trouve dans le vieux cimetière ;
- Jean-Jacques Fayet (1786-1849), évêque d'Orléans de 1842 à 1849, acheta la propriété du château des Hauts en 1844, afin d'y faire bâtir le petit séminaire (ancienne maison de retraite Paul-Gauguin) ;
- Louis-Émile Vanderburch, né en 1794 à Paris et mort en 1862 à Rueil-Malmaison, écrivain et dramaturge français, habita le petit château, qui héberge l'actuelle mairie, de 1836 à 1853. Il est notamment l'auteur en 1836 de la pièce à succès Le Gamin de Paris et qui a fait l'objet d'adaptations pour trois films au début du XXe siècle ;
- Étienne Jean Désiré Chemin de Beuvry (1770 - 1836), propriétaire du château des Hauts de 1816 à 1844, lieutenant-colonel de la garde à cheval à Paris, fut le président du conseil de fabrique de la paroisse. Il repose dans la chapelle sépulcrale érigée par sa veuve dans le cimetière du bourg ;
- Charles Pensée (1799-1871), peintre et dessinateur français, auteur de la gravure immortalisant la bénédiction solennelle de la grotte du Dragon en 1858[1] ;
- Félix Dupanloup (1802-1878), évêque d'Orléans de 1849 à 1878, membre de l'Académie française de 1854 à sa mort, élu député du Loiret en 1871 et sénateur inamovible en 1875, fit du château des Hauts sa résidence d'été privilégiée et dirigea le petit séminaire de La Chapelle-Saint-Mesmin ;
- Jean-Baptiste-Henri Lacordaire, en religion le père Henri-Dominique Lacordaire, (1802-1861), religieux, prédicateur, journaliste et homme politique français, membre de l'Académie française, considéré aujourd'hui comme l'un des précurseurs du catholicisme libéral, fit au moins un séjour au château des Hauts, à l'invitation de Mgr Fayet[12] ;
- Ernest Pillon (1803-1874), archéologue, découvreur de la grotte du Dragon en 1856. Il résidait au château de l'Ardoise de La Chapelle-Saint-Mesmin. Il repose dans le vieux cimetière ;
- Hippolyte Monpou (1804-1841), compositeur et organiste français, fit, peu avant sa mort, un séjour au petit château, demeure de son ami Louis-Émile Vanderburch[13] ;
- Alexandre Collin (1808-1890), polytechnicien, Ingénieur de la Loire, inspecteur général des Ponts et Chaussées, président de la Société archéologique et historique de l'Orléanais (1865), entreprend de réhabiliter l'accès à la grotte du Dragon en 1857[1]. Il est nommé promoteur de la foi pour la béatification de Jeanne d'Arc[14] ;
- Charles-Philippe Place (1814-1893), avocat de profession jusqu'en 1847, il connut une vocation tardive avant d'être évêque de Marseille, archevêque de Rennes et enfin créé cardinal par Léon XIII. Il fut supérieur du petit séminaire de La Chapelle-Saint-Mesmin de 1852 à 1856 ;
- Maximilien Simon Genteur (1815-1882), avocat, maire d'Orléans (1854-1856), conseiller général du Loiret (1852-1857), préfet de l'Allier, secrétaire général du ministère de l'Instruction publique, membre du Conseil du sceau des titres (1869), président de la section de l'intérieur au Conseil d'État (1870), Commissaire du gouvernement (1870), puis conseiller général des Ardennes (1871-1876), propriétaire du château de la Source du Rollin, a vécu à La Chapelle au moins jusqu'en 1856.
- Frédéric Godefroy (1826-1897), philologue et lexicographe romaniste, journaliste et enseignant français, se rendait fréquemment au petit séminaire. Le , il fut invité à faire une conférence intitulée La tristesse patriotique, le pèlerinage de Metz : discours prononcé au petit séminaire de La Chapelle Saint-Mesmin, le [15] ;
XXe siècle
- Thérèse Bentzon (1840-1907), journaliste, essayiste et romancière française, a vécu à La Chapelle de 12 à 16 ans, chez ses grands-parents, les de Vitry[16] ;
- Fernand Romain dit « Niamor » (24 janvier 1876-12 janvier 1953), artiste de Revues et dresseur d'animaux, est né, a vécu et est décédé à La Chapelle[17]. Célèbre dresseur de chiens qui s'est notamment produit, au cours de sa carrière, au théâtre des Folies Bergère ainsi que dans de nombreux cirques et théâtres. Son fameux chien RIP a tourné dans plusieurs longs métrages, notamment dans le film de Gilles Grangier, Leçon de conduite (1946) ;
- Paul Gauguin (1848—1903), peintre, graveur, sculpteur, céramiste, illustrateur français, fut élève au petit séminaire de La Chapelle Saint-Mesmin où il vécut entre 1859 et 1862 ;
- Albert Ier de Monaco (1848-1922), océanographe, paléontologue, géographe, surnommé le Prince Savant, fit ses études au petit séminaire de La Chapelle Saint-Mesmin où il vécut en 1864/1865;
- Nelly Cormon (1877-1942), actrice française de théâtre et de cinéma, a vécu dans l'autre « petit château » (non loin de l'église) entre 1920 et 1925 ;
- Joseph Wirth (1879-1956) homme d'État allemand, ancien chancelier du Reich, opposant au Troisième Reich a fait un séjour à la villa des Mouettes en chez la famille Davidson, où il a rejoint son compatriote Carl Spiecker, ancien directeur de la chancellerie du Reich[18] ;
- Eugène Prévost dit Eugène Messemin (né à La Guide à La Chapelle Saint-Mesmin , mort à Paris le ), peintre et décorateur. Très attaché à ses origines ligériennes et à sa maison au Grand Courant à La Chapelle, il peint de nombreux paysages de Loire. Il réalise des décors pour l'Opéra de Paris, l'Opéra-Comique, la Comédie-Française et le Théâtre d'Orléans. Il est le père de Madeleine Prévost (1915-2012), artiste peintre ;
- Robert Pillault (1886-1976), entomologiste, archéologue, historien, a vécu à La Chapelle de 1930 à sa mort. En 1951, il est élu président de l'association des Naturalistes Orléanais et rédige de nombreux articles sur les différentes espèces d'insectes qu'il observe. En 1952, il découvre, avec sa fille Simone, le gouffre des Sans-Ronce à Chanteau, dans la forêt d'Orléans. Il est nommé officier de l'instruction publique en 1953. La même année, il participe aux fouilles archéologiques dans la crypte de la Collégiale Saint-Aignan d'Orléans, sous l'égide de la Société française d'archéologie. Enfin, il effectue des recherches sur l'histoire de La Chapelle Saint-Mesmin et de son église en rédigeant de nombreuses fiches et en rassemblant une abondante documentation qui ont été léguées aux archives départementales du Loiret[19] ;
- Émile Rousseau (1899-1979), fils de boulanger, mobilisé en 1918, deviendra artiste lyrique baryton. Il est soliste à l'Opéra-Comique, professeur au Conservatoire d’Orléans, puis au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris. Il est co-directeur de l'Opéra-Comique en 1945. Il a vécu à La Chapelle[20] ;
- Aurélien Hatton (1912-1986), résistant pendant l'occupation et maire de la commune pendant 23 ans, est né et a vécu à La Chapelle ;
- Marcel Gili (1914-1993), sculpteur et peintre, époux de Madeleine Prévost de 1935 à 1962, a vécu au Grand Courant jusqu'à la fin de la seconde guerre mondiale ;
- Madeleine Prévost (1915 à Saint-Denis, 2012 à La Chapelle-Saint-Mesmin), artiste peintre. Élève à l’école des Arts décoratifs de Paris, élève en gravure aux Beaux-Arts de Paris, elle participe à de nombreux salons et expositions. Son œuvre est imprégné des paysages du Val de Loire, de la Catalogne, du Québec, de l’île de la Réunion et du Maroc. Elle est la fille unique d’Eugène Prévost dit Eugène Messemin, puis la 1ère épouse de Marcel Gili ;
- Simone Kelner-Pillault (1925-1985[21]), entomologiste[22], docteur en sciences naturelles[23], enseignante à la Faculté des Sciences de Paris, maître-assistante et conservatrice au Muséum national d’histoire naturelle de Paris, fille adoptive de Robert Pillault (voir plus haut), a vécu à La Chapelle[24] ;
- Daniel Souriou (-[25]), sculpteur et ferronnier d'art[26], compagnon du tour de France, compagnon du devoir en 1949, est né à La Chapelle. Il ouvre son atelier à Nîmes où il contribue à la création d'une maison du compagnonnage. Au début des années 1980, il reçoit le grand prix des métiers d'art ainsi que la Légion d'honneur. En 2013, il publie ses mémoires : L'homme du fer et du feu[27]. Il a exposé dans de nombreuses villes de France (Paris, Versailles, Nîmes, Marseille, ...). Il a cédé ses œuvres au château de Barjac[28] ;
- Boubaker Haddad, né le à Bizerte et décédé le à La Chapelle-Saint-Mesmin, footballeur tunisien ;
- Bernard Monnereau né le à Tôtes (Seine-Inférieure) et mort le à La Chapelle-Saint-Mesmin est un rameur français ;
- Alain Drufin (né le à La Chapelle-Saint-Mesmin et mort le ) est un athlète français, spécialiste du lancer du poids. Il remporte le titre de champion de France du lancer du poids en 1966[29] ;
- Alain Gili, (né le à La Chapelle-Saint-Mesmin), est un écrivain français. Il est le fils du sculpteur français Marcel Gili et du peintre Madeleine Prévost, et le petit-fils du peintre Eugène Messemin ;
- Bruno Bini (né en 1954), footballeur français, ancien entraîneur de l'équipe de France de football féminin, sélectionneur de l'équipe nationale féminine chinoise de football depuis [30], élu membre du conseil municipal en , y réside[31].
- Franck Bellucci (né en 1966 à Paris), écrivain, comédien et enseignant français, réside dans la commune[32].
- Personnalités liées à la commune
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- Louis Ripault
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Notes et références
- ↑ a b c et d Catherine Thion, La Chapelle-Saint-Mesmin, des siècles d'histoire, La Chapelle-Saint-Mesmin, Edité par la Ville de La Chapelle-Saint-Mesmin, 2007,2016, 93 p. (ISBN 978-2-9529017-0-3)
- ↑ Selon un article du Journal du Loiret de 1937, le célèbre aventurier du XIXe, Eugène-François Vidocq, aurait passé quelques étés dans la maison ayant appartenu auparavant à l'acteur Brizard. In Saint-Simonin, « Note d'histoire locale : Un rapport de police en 1836 », Le Journal du Loiret, , p. 3 (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Selon Vergnaud-Romagnesi, Brizard possédait une maison de campagne en bord de Loire vers le Bourg de La Chapelle bien avant que Mademoiselle Raucourt décide de résider au château des Hauts. In Charles-François Vergnaud-Romagnesi, Histoire de la ville d'Orléans, de ses édifices, monumens, établissemens publics, etc., avec plans et lithographies., Orléans, Rouzeau-Montaut aîné, , 693 p. (lire en ligne), p. 627
- ↑ Robert Pillault, « Dossier J 272 : Fiches concernant les habitants notables », Archives départementales du Loiret, Fonds Robert Pillault, cote J272,
- ↑ Emile Huet, Histoire du Petit Séminaire de La Chapelle Saint-Mesmin, Orléans, Paul Pigelet & Fils, , 450 p., réédité en 2010 par Kessinger Publishing (ISBN 1166792625 et 978-1166792626)
- ↑ JC Benoit du Sablon est l'auteur d'un quatrain que celui-ci avait gravé sur un arbre près de la maison du Passeur en bord de Loire : « Vous qui passez, admirez ce rivage, Jouissez de ce gazon, du frais de mon ombrage. Vous y pourrez goûter la douceur du repos, Oublier vos chagrins et calmer tous vos maux ». In Jean-Claude Benoît du Sablon, « Poésie : transcrite dans le Fonds Robert Pillault aux AD45, cote J 272, résidents notables de la Chapelle », Echo de La Chapelle, , p. 146
- ↑ « Registre des décès de La Chapelle Saint-Mesmin, 1848, registre d'état civil, 1843 - 1852, EC 4035, page 68/114 », sur Archives départementales du Loiret (consulté le )
- ↑ Christian Veillon, Bulletin annuel du Groupe d'Histoire Locale n° 23 : Au bord du fleuve : 12 - Château de Bellevue (ou des Tourelles), La Chapelle Saint-Mesmin, GHL, , 66 p. (ISSN 0981-0706), p. 37.
- ↑ « Chronique », Le Journal du Loiret, , p. 1 (lire en ligne, consulté le )
- ↑ Saint-Simonin, « Notice d'histoire locale », Le Journal du Loiret, , p. 2 (lire en ligne, consulté le )
- ↑ « Nouvelles diverses », Le Journal du Loiret, , p. 3 (lire en ligne, consulté le )
- ↑ in Fête de la cinquantaine et douzième réunion triennale des anciens présidées par S. G. Mgr: l'évêque d'Orléans le 26 juillet 1896 : petit séminaire de La Chapelle-Saint-Mesmin consultable sur le site BNF Gallica https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54898296/f1.item
- ↑ Journal L'Orléanais du 15 août 1841 : « M. Hippolyte Monpou, compositeur distingué, est mort mardi matin à l'Hôtel-Dieu. Arrivé dimanche à Orléans, il se sentit si malade qu'il jugea impossible de continuer sa route vers la Touraine. Il se fit alors porter à la maison de campagne de son ami Vanderbuch à La Chapelle ; mais son état devint si alarmant que les gens de l'art jugèrent à propos de le faire ramener à Orléans ; c'est là que la mort l'a frappé ».
- ↑ Bulletin de la SAHO n° 43 (1973), page 122
- ↑ disponible sur le site de la BNF Gallica
- ↑ Anonyme, « Nécrologie », Echo de La Chapelle, no 110, , p. 1141. Fonds Robert Pillault (archives départementales du Loiret, cote J272)
- ↑ « La Chapelle-Saint-Mesmin, Naissances : registre d'état civil, 1873 - 1882, EC 79054, Vue 40/118 », sur archives-loiret.fr (consulté le ).
- ↑ Otto Strasser, L'Europe de demain : Les vrais buts de la guerre. Copie d'un projet d'article rédigé en allemand n° 284 o.J. (1939) AN, F41 981, Archives du Commissariat général à l'information (CGI), septembre 1939 - juin 1940. Envoyé par Otto Strasser, de Zürich au Dr. Spiecker, à La Chapelle Saint-Mesmin. Commission militaire de contrôle postal d'Orléans (Source : Bulletin annuel du GHL de La Chapelle Saint-Mesmin n° 25 (2008), article de Christian Veillon) Die Europavorstellungen im deutschen und im französischen Widerstand gegen den Nationalsozialismus 1933/40 bis 1945 Thèse de Stephan Frederic, 2002 Lire en ligne.
- ↑ Bulletin annuel du GHL de La Chapelle Saint-Mesmin n° 22 (2005), article de Jacques Maviel (sources : AD45, cotes 139J6, 139J7, J269 à J274).
- ↑ « Emile Rousseau (1899-1985) - Auteur - Ressources de la Bibliothèque nationale de France », sur data.bnf.fr (consulté le ).
- ↑ Jean Legrand (Revue française d’entomologie), « In Memoriam Simone Kelner-Pillault », sur www.zobodat.at, (consulté le )
- ↑ Ammophiles, documentaire; durée : 22 min 23 s - réalisateur : Maurice Guillon - 1974 Source de ce documentaire sur lequel Simone Kelner-Pillault est intervenue: Claude Caussanel, Rock Desmier de Chenon, Simone Kelner. CERIMES. (1974, 1 janvier). Ammophiles. [Vidéo]. Canal-U. https://www.canal-u.tv/40933. (Consultée le 9 novembre 2022)
- ↑ Doctorat qu'elle obtient en 1967 à la Faculté des Sciences de Paris, grâce à la soutenance de ses deux thèses: Etude écologique du peuplement entomologique des terreaux d'arbres creux et Les abeilles fossiles (Bulletin annuel du GHL de La Chapelle Saint-Mesmin n° 22 (2005), article de Jacques Maviel).
- ↑ (en) Gordon Gordh et David Headrick, A Dictionary of Entomology, USA, Cabi publishing, , 1032 p. (ISBN 9780851992914), p. 493.
- ↑ Hommage à Daniel Souriou sculpteur d'art, article du Midi Libre
- ↑ Oeuvres de Daniel Souriou sur bnf.fr
- ↑ Site de la librairie des compagnons
- ↑ Voir l'interview de Daniel Souriou sur le site nimesmaville.com
- ↑ Docathlé2003, Fédération française d'athlétisme, p. 466
- ↑ « Bruno Bini nouveau sélectionneur de l'équipe de Chine féminine (off.) - Foot - CHN (F) », sur lequipe.fr, L'Équipe, (consulté le ).
- ↑ Coquel R, « Je pensais que je ne réussirais jamais », interview paru dans La République du Centre, le 23 juillet 2011 Liste des conseillers municipaux 2014-2020
- ↑ Site de la Cie de l'Encre
Sources
- Collectif, Bulletins annuels du Groupe d'Histoire Locale, La Chapelle Saint-Mesmin, GHL, depuis 1984 (ISSN 0981-0706).
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