Marie-Ève Sténuit
![Page d’aide sur l’homonymie](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/a/a9/Logo_disambig.svg/20px-Logo_disambig.svg.png)
Pour les articles homonymes, voir Sténuit.
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/1/1e/Noun-ink-103763.png/41px-Noun-ink-103763.png)
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/2/27/Nuvola_Belgian_flag.svg/35px-Nuvola_Belgian_flag.svg.png)
Cet article est une ébauche concernant une écrivaine belge.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
Marie-Ève Sténuit
![une illustration sous licence libre serait bienvenue](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/f/f7/Defaut_2.svg/langfr-260px-Defaut_2.svg.png)
Naissance | ![]() Uccle ![]() |
---|---|
Nationalité | belge ![]() |
Activités | Historienne de l’art, archéologue, romancière ![]() |
Père |
Genre artistique | Roman ![]() |
---|
modifier - modifier le code - modifier Wikidata
Marie-Ève Sténuit, née le à Uccle, est une écrivaine belge de langue française. Elle est la fille de l'archéologue sous-marin Robert Sténuit.
Biographie
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/8/87/Fairytale_warning.png/17px-Fairytale_warning.png)
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Marie-Ève Sténuit est historienne de l’art et archéologue. Elle pratique l'archéologie sous-marine, et participe à des fouilles terrestres au Proche-Orient. Elle partage son temps entre la Belgique et l'Indonésie.
Œuvres
- Les Frères Y, Bordeaux/ Paris, France, Éditions Le Castor Astral, coll. « Escales du Nord », 2005, 222 p. (ISBN 2-85920-612-4)
- - Prix littéraire du Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles 2008[1]
- La Veuve du gouverneur, Bordeaux/ Paris, France, Éditions Le Castor Astral, coll. « Escales des lettres », 2006, 298 p. (ISBN 978-2-85920-694-9)[2]
- Le Bataillon des bronzes, dessins de Chris De Becker, Bordeaux/ Paris, France, Éditions Le Castor Astral, coll. « Escales des lettres », 2007, 148 p. (ISBN 978-2-85920-737-3)[3]
- Un éclat de vie, Bordeaux/ Paris, France, Éditions Le Castor Astral, coll. « Escales des lettres », 2011, 83 p. (ISBN 978-2-85920-874-5)
- Le Tombeau du guerrier, Paris, Serge Safran éditeur, 2012, 188 p. (ISBN 979-10-90175-03-7)[4]
- Les Frères Y, suivi de Les Véritables Frères Y, Bordeaux/ Paris, France, Éditions Le Castor Astral, coll. « Escales du Nord », 2015, 304 p. (ISBN 978-2-85920-952-0)
- Femmes pirates. Les Écumeuses des mers, Paris, Éditions du Trésor, 2015, 185 p. (ISBN 979-10-91534-15-4)[5]
- Une femme à la mer ! Aventures de femmes naufragées, Paris, Éditions du Trésor, 2017, 224 p. (ISBN 979-10-91534-28-4)
- Femmes en armes - Les guerrières de l'Histoire, Paris, Éditions du Trésor, 2019, 186 p. (ISBN 979-10-91534-44-4)
- Pionnières du risque - Histoires de femmes intrépides, Paris, Éditions du Trésor, 2021, 180p. (ISBN 979-10-91534-58-1)
- Faux trésors et impostures - Fraudes, mystifications et escroqueries scientifiques, Paris, Éditions du Trésor, 2022, 208p. (ISBN 979-10-91534-74-1)
Notes et références
- ↑ « Communiqué de presse - Finale du prix littéraire 2008 — », sur Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles / Communauté française (consulté le )
- ↑ Adrienne Nizet, « Marie-Eve Sténuit ne juge pas », sur Le Soir, (consulté le )
- ↑ C.P., « Les bronzes se rebellent », sur La Libre Belgique18 juillet 200830 novembre 1999 (consulté le )
- ↑ Pierre Maury, « Le passé à la lumière du présent », sur Le Soir, (consulté le )
- ↑ Souen Léger, « Marie-Eve Sténuit : le freak, c’est chic », sur Livres Hebdo, (consulté le )
Liens externes
- Site de l’auteur
- Notices d'autorité
:
- VIAF
- ISNI
- BnF (données)
- IdRef
- LCCN
- GND
- Belgique
- Pays-Bas
- NUKAT
- WorldCat
Portail de la littérature francophone
Portail de la Belgique