Mathilde Delattre
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Naissance | Le Caire |
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Décès | (à 79 ans) Levallois-Perret |
Nationalité | française |
Activités | Peintre, aquarelliste |
Distinction | 1er prix de l'Union des femmes peintres et sculpteurs (1903); Médaille d'or au Salon des Artistes Français (1930) Officier d'Académie (1899); Officier de l'Instruction publique (1905) |
Site web | ateliermathildedelattre.com |
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Mathilde Henriette Delattre, née Casajeus dit Crillon le au Caire (Egypte) et décédée le à Levallois-Perret, est une peintre et aquarelliste française[1].
Origines et formation
Petite-fille du photographe parisien Alexandre Casajeus dit Crillon[2],[3], Mathilde nait au Caire en 1871, où sa mère Clémentine séjourna plusieurs années auprès du khédive Ismaïl Pacha à l'occasion des fêtes d'inauguration du canal de Suez[4],[5]. De retour à Paris, Clémentine épouse en mai 1874 à Paris[6] son cousin Paul Louis Delattre, originaire de Crespin (Nord) qui légitimera la fillette de trois ans[4], officiellement née de père inconnu. La famille habite 3 rue Pergolèse dans le 16è arrondissement; son frère Georges nait en 1875; son père, employé de commerce, y décède en 1886.
Mathilde Delattre est introduite dès 1889 aux Salons parisiens, sans doute par l'aquarelliste Jeanne[7] Le Roux (de la Société des amis des arts du Havre). L'école des Beaux-Arts étant toujours interdite aux femmes, elle complète ensuite sa formation auprès du peintre académique Henry-Eugène Delacroix, originaire de Valenciennes mais qui ouvre en 1891 un atelier dans le 9è arrondissement de Paris. Elle est sans doute sensible à la poétique des paysages d'H.-E. Delacroix, et influencée par les artistes du courant naturaliste[8], mais également par le style floral de Pauline Delacroix-Garnier qui enseignera avec son mari à partir de 1893[9]. Elle étudie dans le même temps la nature morte et le portrait auprès du peintre orientaliste Gaston Casimir Saint-Pierre[10].
La reconnaissance pour la "fleuriste" et les élèves
Elle expose dès lors très régulièrement à partir de 1895 (date à laquelle elle déménage dans le 9è arrondissement) en particulier au Salon des artistes français[11], à la Société des amis des arts de Seine-et-Oise, au Salon de l'Union des femmes peintres et sculpteurs, à la Société nationale d'horticulture de France[12]. Elle fréquente l'atelier du maître Ferdinand Humbert[13].
Elle accroche natures mortes, paysages et portraits, et s'adonne même un temps à la céramique. Mais c'est surtout à l'aquarelle, où elle se signale dans les grands formats, que sa sensibilité s'exprime le plus intensément, et elle obtient le premier prix au Salon de l'Union des femmes peintres et sculpteurs de 1903 pour son aquarelle "Dans un coin du parc" où la critique relève "une prestesse et une fraicheur qui achèvent de classer l’artiste au premier rang des peintres de fleurs"[15]. Ses "grandes floraisons" semblent influencées par les natures mortes complexes du 17è siècle. Elle est 3è médaille au Salon des artistes français en 1905 pour son aquarelle "Chez la fleuriste". En 1911 sa "grande toile "Veille de fête au cloître" est remarquée par Guillaume Apollinaire[16]. Elle est nommée Officier d'Académie le 3 février 1899 [17], puis Officier de l'Instruction publique le 1er janvier 1905[18],[1].
Elle ouvre son propre atelier et reçoit de nombreuses élèves au 17, rue Duperré à Paris (9è) de 1904 à 1940, et enseigne dans la même période au cours spécial d'aquarelle du 17e arrondissement de la ville de Paris[19]. Elle accrochera ses œuvres dans plus de 130 expositions, dont une quarantaine de Salons de la Société des artistes français. Sociétaire depuis 1902 et membre du comité en 1912, Sociétaire à la Société Nationale d'Horticulture de France (1902), Membre du jury et du comité de l'Union des Femmes peintres et sculpteurs, secrétaire de la Société des aquarellistes (1938), elle introduit ses élèves dans de nombreux salons et expositions; au Salon de 1914 de l'Union des Femmes peintres et Sculpteurs, on dénombre ainsi 18 de ses élèves parmi les exposantes.
Le choc de 1914 puis le chemin vers le "Plein Air"
Durant la guerre l'activité des Salons - et donc l'enseignement - chute drastiquement. Le village de Crespin (Nord) où elle se ressourçait auparavant étant en zone interdite, l'artiste retrouve souvent sa famille à Perros-Guirec[5]dans ces années 1910, où elle réalise une série de petits "paysages bretons" où elle flirte avec une technique impressionniste. Après le 1er conflit mondial, elle réside et peint également aux Andelys (Eure)[4] où elle entretient un jardin fleuri qui sera également le sujet de nombreux "coins de jardins" et autres "petits-déjeuners", "des jardins dans une lumière transparente",etc..., thèmes sur lesquels elle multiplie les variations. Ses compositions florales - où elle a toujours le souci de créer un cadre, une "circonstance" aux fleurs, et qui dégagent, selon la critique, une atmosphère très subtilement poétique, vont évoluer vers un art de "plein air" qui s'éloigne du pur souci de précision ou d'intensité de coloris de ses grandes contemporaines aquarellistes telles Eugénie Faux-Froidure et Blanche Odin.
Alors que le marché de l'art se déplace des salons vers les galeristes, elle présente en 1927 une exposition particulière à la galerie Georges Petit à Paris, mais exprime une certaine réticence envers les prix excessifs des "marchands". Femme célibataire, Mathilde Delattre vivra de son travail artistique jusque dans les années 1930[4], contrairement à certaines de ses contemporaines qui abandonneront la carrière professionnelle. Sa correspondance récemment redécouverte révèle sa constante énergie comme son indépendance[4]. Elle obtient au Salon une médaille d'or en 1930 avec son aquarelle "Fin de jour" où, comme dans d'autres oeuvres, "une lumière douce se joue parmi les fleurs, les porcelaines et les cristaux en désordre". En 1937, et comme une consécration de son travail, elle est admise par le jury, à côté d'artistes plus célèbres invitées, à l'exposition organisée à l'occasion de l'Exposition universelle "Les femmes artistes d'Europe exposent au Jeu de Paume", initiative d'ampleur inégalée regroupant des créatrices de 15 pays.
En 1927, elle remporte au Salon le prix Pillini, créé l'année précédente pour récompenser des artistes peintres non favorisés par la fortune. Le décès en 1931 de sa mère, qui gérait ses obligations et visiteurs[4], retentit sur sa production et inaugure une période de difficultés financières, aggravée par des accidents, qui la contraignent en 1942 à quitter son logement-atelier de la rue Duperré. Elle expose une dernière fois en 1943 au Salon des artistes français, "Contre-jour". Sa santé la contraint en 1949 à quitter définitivement son refuge de verdure du Grand Andely, et elle finit ses jours à la résidence pour dames de la fondation Greffulhe à Levallois-Perret[20],[4]
« Je vous écris de ma petite galerie en plein soleil tamisé par un rideau de fleurs, volubilis & grands pétunias de toutes couleurs, polygonum encore en neige & de brillants géraniums, c'est adorable (...) je crois n'avoir jamais vu si doux & si bel automne (…) cela avec les phlox & les capucines & les feuillages rouges de la vigne vierge & celui des vignes qui ne le sont plus, c'est un véritable enchantement »[21].
Principales expositions
À Paris
- en 1889 puis de 1897 à 1943, au Salon de la Société des Artistes Français (médaille de bronze en 1905, médaille d'argent en 1927 et médaille d'or en 1930[22])
- de 1890 à 1891, au Salon de la Société nationale des Beaux-Arts[23]
- de 1895 à 1900, à la Société des Amis des arts de la Seine & Oise, au château de Versailles (médaille d'argent en 1897[24])
- de 1897 à 1939, au Salon de l'Union des femmes peintres et Sculpteurs[25] (1er prix de l'Union en 1903)
- de 1898 à 1932, à la Société Nationales d'Horticulture de France[12]
- en 1899, 1900 et 1900, à l'Exposition des "XII" à la Bodinière, Paris
- en 1908, 1909 et 1912, à l'Exposition du Syndicat des Artistes Femmes à Enghien
- de 1909 à 1934, à la Galerie Georges Petit, dont une exposition particulière en 1927 (catalogue)
En province et à l'étranger
- Salons de Roubaix-Tourcoing (1896 et 1900), Le Havre (1899), Dijon (1900), Bordeaux (1901), Toulouse (1906), Cannes (1912)
- Exposition Universelle de Turin (1911, diplôme d'honneur); Exposition internationale d'Horticulture de Saint Petersbourg (1914, médaille d'argent)[12]
Galerie d’œuvres
- Pot au feu, Société des amis des arts de Seine-et-Oise 1897, huile sur toile, 17,5 x 24 cm, lot d'enchères
- Portrait de Jeanne Tournay, huile sur toile 86 cm x 74 cm, 1897. Collection du Musée du Gévaudan - Ville de Mende
- Chez la fleuriste, aquarelle sur papier marouflé sur toile 124 cm x 184 cm, 1905. Centre national des arts plastiques FNAC 1663. Photo Yves Chenot
- Nature morte à la corbeille de fruits, aquarelle 8 cm x 8 cm, vers 1918. Coll. particulière
- Dans le parc, huile sur panneau 16 cm x 24 cm, vers 1910. Coll. particulière
- Perros-Guirec, le clocher de la Clarté vu de la route de Trestrignel, huile sur panneau 16 cm x 24 cm, vers 1910. Coll. particulière
- Travail préparatoire pour Coin de jardin. Coll. particulière
- Vase aux deux roses, aquarelle diam. 21 cm, exposée en 1927 à la galerie G. Petit, lot d'enchères
- Fin de jour (détail), médaille d'or au Salon des Artistes Français 1930, Coll. particulière
Œuvres dans les collections publiques
- Les Andelys, musée Nicolas Poussin: Le collier gris, aquarelle (1928)[26]. Acquisition.
- Aurillac, musée d'art et d'archéologie : Dans un coin du parc, aquarelle (1903). Don de l'État[27].
- Mende, musée du Gévaudan : Portrait de Jeanne Tournay, huile sur toile (1897)[28].
- Paris, Palais de l'Élysée : (1906 à 1911) Chez la fleuriste, aquarelle (1905) puis Centre National des Arts Plastiques FNAC 1663.
- Paris, Ministère des Finances : Coin de table, aquarelle (1912) de 1913 à 1936, puis dépôt de l'État à la mairie de Pont-de-Roide (salle des mariages).
- Riom, musée Francisque Mandet : Lilas, aquarelle (1899). Envoi de l'État (1903)[29].
- Semur-en-Auxois, musée municipal : Soleils, aquarelle, acquis par l'état en 1897, don à la Société des Sciences Historiques et Naturelles de Semur-en-Auxois en 1898, dépôt au musée en 2010[30].
- Ambassade de France à Washington de 1934 à 1958: Plein air, aquarelle (1931), acquis par la mairie de Paris en 1933, puis dépôt de l'État à la mairie de Saint-Seurin-sur-l'Isle.
- Collections en ligne du Centre National des Arts Plastiques (CNAP), Paris.
- Fonds François Vizzavona, Grand Palais Réunion des Musées Nationaux, Paris (photographies d'oeuvres exposées au Salon des artistes français).
Elèves introduites aux Salons par Mathilde Delattre
- Hélène Aigner; Louise Alix; Suzanne André; Marguerite Bernard; Marie-Hélène Bernard; Marie-Clotilde Berthon[31]; Yvonne Blanchon; Zina Blondel-Weiss[32]; Maria Del Pilar de Bourbon de Bavière[4],[33]; Germaine Boy[34]; Madeleine Caudel (en)[32]; Marie-Louise Charliat; Paule Collas-Primer[35]; Marie Defransure d'Heilly; Suzanne Ernault[36]; Thérèse Fortin[32]; Francine Gaudrion[37]; Germaine Gloria[38]; Renée Colomb-Gloria[32]; Marcelle Marie Hilpert[32]; Louise Holfeld[32],[39]; Marthe Huctin[40]; Marie Lelavandier[32]; Louise Leroy; Yvonne Meley (en)[32] ; Ysabel Minoggio; Lucie Muller[32]; Camille Olivier; Marie Pertué[41]; Marthe Marie Rabier[32]; Marthe Roy [1]; Geneviève Schmitt[42]; Marguerite Vallancienne; Valentine Verchere[32]; Jacqueline Vermandel[43].
Plusieurs de ces élèves sont actuellement redécouvertes; certaines comme Ysabel Minoggio, Louise Alix ou Yvonne Blanchon reprennent les thèmes floraux ou de plein air chers à Mathilde Delattre mais en les faisant évoluer dans un style "art déco"[44].
Postérité
En janvier 2023 est créée à l'initiative de sa famille l'association "Atelier Mathilde Delattre", association à but non lucratif dont l'objectif est la promotion de la mémoire et de l’œuvre de l'artiste. Dans cette période de reconsidération des femmes peintres oubliées, ou dont les œuvres dorment au fond des collections des musées, l'association se mobilise pour une première exposition rétrospective.
Pour l'heure, la seule exposition posthume connue incluant des œuvres de Mathilde Delattre est Histoire de la peinture lors des Journées du patrimoine 2022 à Crespin, au cours de laquelle ont été accrochés les tout premiers portraits réalisés par l'artiste en 1894[45].
L'association lance un appel à toutes personnes ou institutions en possession d’œuvres ou de témoignages sur Mathilde Delattre, aux fins d'élaboration progressive de son catalogue raisonné.
Notes et références
- ↑ a et b « Le livre d'or des peintres exposants », sur geneanet.
- ↑ pins59, « Auguste ABS », sur canalblog.com, L' Atelier des photographes du XIX siecle, (consulté le ).
- ↑ "Alexandre" Crillon est l'auteur d'un portrait présumé d'Arthur Rimbaud https://www.parismatch.com/Culture/Livres/Portrait-inedit-du-poete-La-photo-d-un-inconnu-nomme-Rimbaud-886819
- ↑ a b c d e f g h i et j papiers famille Tétin-Ledru
- ↑ a et b papiers famille Girard-Lizot
- ↑ Acte de mariage no 178 (vue 6/31). Archives en ligne de la Ville de Paris, état-civil du 16e arrondissement, registre des mariages de 1874.
- ↑ ou Marie Thérèse ?
- ↑ Mathilde Delattre exposera en 1907 une toile Le chemin des chardons. Souvenir de Marlotte, témoin d'un "pèlerinage" sur le site du groupe de Marlotte, lui-même issu de celui de Barbizon.
- ↑ Claudine Pardon, Henry-Eugène Delacroix Artiste-peintre 1845-1930, Solesmes, Association pour l'Etude et la Préservation du Patrimoine de Solesmes, , 324 p. (ISBN 978-2-955-02313-6)
- ↑ dictionnaire Bénézit: https://doi.org/10.1093/benz/9780199773787.article.B00048561
- ↑ Archives de la Société des artistes français
- ↑ a b et c « Hortalia », sur hortalia.org (consulté le ).
- ↑ C'est en 1900 que, les Beaux Arts s'ouvrant enfin aux femmes, Ferdinand Humbert y assure le premier cours exclusivement féminin https://www.grandemasse.org/breves_historiques/filiation-de-latelier-officiel-de-peinture-pour-eleves-femmes-humbert-cree-en-1900/. Les catalogues mentionnent Mathilde Delattre comme son élève à partir de 1906.
- ↑ (en) « WordPress.com », sur WordPress.com (consulté le ).
- ↑ « Bulletin officiel de l'Union des femmes peintres, sculpteurs, graveurs... », sur Gallica, (consulté le ).
- ↑ Le vernissage de l'Union des Femmes Peintres et Sculpteurs. L'Intransigeant, 11 février 1912, p. 2, à lire en ligne sur Gallica.
- ↑ Ministère de l'Instruction publique et des Beaux-Arts. Officiers d'Académie. Journal Officiel, 12 mai 1899, p. 3145, à lire en ligne sur Gallica.
- ↑ Ministère de l'Instruction Publique et des Beaux-Arts, « Promotion du 1er janvier 1905, Officiers de l'Instruction Publique » [doc] in F/17/40135 à F/17/40155, sur Archives Nationales, (consulté le ).
- ↑ Possiblement sous la direction de Marthe Bougleux.
- ↑ Dominique Salva, « Dans la lignée de Mathilde Delattre »
- ↑ Correspondance de Mathilde Delattre à sa famille, Le Hanneton, Grand Andely, 5 novembre 1943
- ↑ « BnF Catalogue général », sur bnf.fr, Gründ (Paris), (consulté le ).
- ↑ Gaïté Dugnat, préface de Pierre Sanchez: Catalogues des Salons de la Société nationale des Beaux-arts, vol. 1890-1895. L'Echelle de Jacob, Dijon
- ↑ « Journal des artistes », sur Gallica, (consulté le ).
- ↑ Pierre Sanchez, préface de Ch. Beauvalot, Dictionnaire de l'Union des femmes peintres et sculpteurs: répertoire des artistes et liste de leurs oeuvres: 1882-1965, Echelle de Jacob, Dijon
- ↑ Œuvre vraisemblablement détruite lors du bombardement allemand et de l'incendie du musée le 8 juin 1940.
- ↑ Peintures. Delattre (Mlle Mathilde). Ville d'Aurillac. Catalogue du Musée, mai 1906, p. XXXII, à lire en ligne sur Gallica.
- ↑ Société des Lettres Sciences & Arts de la Lozère, « PORTRAIT DE JEANNE TOURNAY, 1897, PAR MATHILDE DELATTRE. Les deux artistes partagèrent les cours des mêmes maîtres. », sur societedeslettres48.fr, (consulté le ).
- ↑ Peintures. 105. Lilas (aquarelle). Musée de Riom. Catalogue général, année 1919, p. 26, à lire en ligne sur Gallica.
- ↑ Dons faits à la Société. Beaux-Arts. Bulletin de la Société des sciences historiques et naturelles de Semur, 1898, p. XXIII, à lire en ligne sur Gallica.
- ↑ Née Gallien à Constantine (1870-1959), elle était connue aussi sous le nom de Gallien-Berthon. Elle est la mère du peintre Maurice Alexandre Berthon (1888-1914).
- ↑ a b c d e f g h i j et k https://bibliotheques-specialisees.paris.fr/ark:/73873/pf0000004127/v0001.simple.highlight=Mathilde%20Delattre.selectedTab=record
- ↑ alors dite Princesse des Asturies. 1891-1987
- ↑ Germaine Boy participera à l'école de Savièse https://www.artlog.net/fr/exhibition/ecole-de-saviese-et-artistes-reconnues
- ↑ Paule Collas née Paula Primer dite Collas-Primer (1885-19..) ne doit pas être confondue avec la lithographe Paule Collas présente au Salon entre 1913 et 1922.
- ↑ (plus tard Laigneau-Ernault)
- ↑ Francine Gaudrion (1882-1941) a eu longtemps son atelier dans la même rue que celui de Mathilde Delattre, au 9 de la rue Duperré.
- ↑ Germaine Gloria (1888-1962) est également connue comme décoratrice, illustratrice et affichiste. Elle a notamment travaillé avec Paul Colin au Salon d'Automne. Les deux sœurs Gloria sont parfois dites Gloria-Colomb (patronyme de leur mère). Germaine reste célibataire tandis que Renée épouse Marie Joseph Clément en 1915.
- ↑ Louise Holfeld (1882-1967) travaillera ensuite le cuir et sera dame de compagnie et héritière de la fille du sculpteur Jean-Baptiste Carpeaux.
- ↑ Salon des femmes peintres et sculpteurs. Marthe Huctin. Revue du vrai et du beau, 25 avril 1931, p. 9, à lire en ligne sur Gallica.
- ↑ Elève de Mathilde Delattre ainsi que de SaintPierre et Delacroix; sociétaire des artistes français depuis 1897: https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bd6t5397332d/f508.image.r=(prOx:%20%22%C3%A9l%C3%A8ve%22%208%20%22Delattre%22)?rk=107296;4 (Bénézit)
- ↑ https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5744167j.image.r=DELATTRE.f21.hl
- ↑ Jacqueline Vermandel deviendra Madame Raymond Cahen-Molina
- ↑ https://ateliermathildedelattre.com/une-constellation-de-femmes-peintres/
- ↑ Famille Butez-Delattre et https://www.crespin.fr/culture-loisirs/journees-du-patrimoine
Liens externes
- Ressources relatives aux beaux-arts :
- Artists of the World Online
- Bénézit
- Notices d'autorité :
- VIAF
- BnF (données)
- WorldCat
- Autour de Mathilde Delattre sur les réseaux sociaux: https://www.facebook.com/groups/1575212472995286
- Lien vers le projet de catalogue raisonné, la bibliographie extensive et le site de l'association "Atelier Mathilde Delattre"
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