Théâtre gallo-romain de Vieux

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[L 1].

Théâtre gallo-romain de Vieux
Présentation
Type
ThéâtreVoir et modifier les données sur Wikidata
Patrimonialité
Logo monument historique Inscrit MH (1980) - Logo monument historique Classé MH (1980)
Localisation
Pays
Drapeau de la France France
Département
Calvados
Commune
Vieux
Coordonnées
49° 06′ 25″ N, 0° 25′ 55″ OVoir et modifier les données sur Wikidata
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Le théâtre gallo-romain de Vieux est un édifice de spectacles du site archéologique de Vieux-la-Romaine, l'antique Aregenua, située à environ 10 km au sud de Caen[2], dans le département du Calvados, région Normandie en France.

Le site de Vieux est fouillé à partir de l'extrême fin du XVIIe siècle, bien que le lieu soit l'emplacement de la découverte de la célèbre base de statue connue sous le nom de marbre de Thorigny dès la fin du XVIe siècle.

Fouillé au milieu du XIXe siècle par la Société des antiquaires de Normandie, l'édifice est redécouvert lors de fouilles au début du XXIe siècle mais ces derniers travaux sont superficiels et ne renouvellent pas les apports du XIXe siècle qui restent la base de notre connaissance de l'édifice. Bien que non visibles, les vestiges sont présents sous très peu de surface et une butte marque sa présence à très peu de distance du parking visiteurs du musée du site.

Localisation

Plan de la cité
Plan simplifié d'Aregenua.

La commune actuelle de Vieux se trouve à environ 20 km de la Manche[C 1]. L'édifice de spectacles, au nord-ouest de la cité antique, sur « un coteau faiblement incliné vers le sud »[B 1], se situe à 150 m du lieu-dit actuel Jardin Poulain[C 2]. La zone correspond aux numéros 343 et 346 de la section B lors des fouilles du milieu du XIXe siècle[K 1]. Le secteur est celui du faubourg nord-est de la ville antique selon Antoine Charma[K 2].

Dans le même secteur de la cité antique se situe la maison à la cour en U, demeure urbaine plus modeste que la très riche Maison au grand péristyle de Vieux-la-Romaine. La maison à la cour en U comporte à la fois un atelier et des boutiques en façade[D 1].

Histoire

Histoire ancienne du site

Cité des Viducasses

Carte des cités au Bas-Empire
Carte des cités au Bas-Empire.

Aregenua, capitale des Viducasses, un des peuples de la Gaule lyonnaise, est créée au Ier siècle apr. J.-C.. Après son apogée aux IIe et IIIe siècles et plus précisément sous la dynastie des Sévères, elle est très touchée par les troubles qui affectent l'Empire romain au IIIe siècle. Au IIIe siècle, le nom de la cité est désormais Civitas Viducassium selon l'inscription du Marbre de Thorigny[D 2].

Le secteur oriental de la cité n'a plus d'activité à la fin du IIIe siècle[D 1]. Après les destructions, la cité se rétablit toutefois au début du IVe siècle[B 2] mais ne se voit pas dotée d'un rempart, comme les sites de Jublains ou Corseul. La cité fusionne avec Bayeux et disparaît « administrativement » vers 400[D 3]. Bayeux devient un évêché. Même si le site de la ville reste occupé, une partie non négligeable de la population semble partir s'installer dans d'autres entités urbaines ou dans des domaines ruraux[D 1]. Le site reste toutefois un lieu de peuplement et le christianisme s'y installe aux Ve et VIe siècles[J 1].

Histoire du quartier du théâtre

Maison à la cour en U, dans le quartier antique du théâtre.

Le quartier du théâtre est mal connu au début du XXIe siècle[B 3]. Le quartier périphérique de la cité est celui des artisans, et est également le lieu où ont été retrouvées les ruines du théâtre[A 1]. Le secteur était surtout occupé par des bâtiments à pans de bois[B 4].

Un premier édifice de spectacles est bâti fin du Ier siècle-début du IIe siècle[A 1],[B 1]. Quelques dizaines d'années après, le théâtre est transformé en édifice à arène[A 1] afin de pouvoir y jouer des spectacles d'amphithéâtres[C 2]. Un demi-cercle est ajouté à l'orchestra[F 1]. Cette transformation a peut-être lieu au milieu[E 1] ou à la fin du IIe siècle[D 1]. Pascal Vipard évoque une transformation entre le deuxième et le dernier quart du IIe siècle. Cette transformation a fait disparaître la plupart de la structure du premier théâtre. Le secteur de l'arène a peut-être été modifié car un mur témoigne de transformations[B 1].

Le théâtre trouve un « irrécusable témoignage » dans la plus grande inscription découverte sur le site[I 1]. Titus Sennius Solemnis prêtre de Diane, Mars et Mercure, mentionné sur la pierre dénommée marbre de Thorigny, a dépensé en 238 25 000 sesterces pour 4 jours de spectacles[E 1],[H 1]. Antoine Charma en 1855 est très prudent sur la restitution de l'inscription[K 3].

Histoire du site depuis la fin de l'Antiquité

Gravure ancienne d'un fragment de frise à motifs végétaux
Fragment de frise du théâtre.

Le théâtre est abandonné à la fin du IIIe siècle, peut-être à la suite d'un incendie. Les fouilles ont livré du bois carbonisé à l'emplacement des gradins et également des clous. L'incendie a peut-être eu lieu après l'abandon de l'édifice[B 5].

Pascal Vipard estime à partir des découvertes numismatiques « une fréquentation probable à la fin du IIIe siècle » et note une absence de monnaies au IVe siècle si ce n'est une monnaie de Valentinien Ier}[B 6].

Les ruines sont alors utilisées comme source de matériaux, et un four à chaux est installé[A 2]. Des éléments lapidaires à relier à l'édifice de spectacles, des fragments de frise taillés en sarcophage, sont retrouvés dans les fouilles de la nécropole d'époque franque du Grand Champ au XIXe siècle[B 7]. Le décor de colonnes et d'entablement est en effet réutilisé dans la nécropole[B 3].

Le théâtre reste utilisé comme carrière aux VIIe siècle-VIIIe siècle[B 3]. Sept monnaies de billon d'époque médiévale sont trouvées par les fouilleurs[B 3]. Les ruines de l'édifice restent présentes dans le paysage durant une longue période[A 2].

Redécouverte du site

Plan moderne, localisation les différents sites de Vieux-la-Romaine : théâtre gallo-romain, forum, deux maisons et musée
Plan moderne de l'ensemble du site de Vieux-la-Romaine.

Découverte du théâtre au XIXe siècle

Les thermes de la cité sont fouillés dès les années 1730[D 1]. Arcisse de Caumont pense vers 1840 que le théâtre était au sud-ouest de la ville, dans le site appelé « champ des crêtes »[K 2].

Le théâtre a été fouillé au XIXe, plus précisément en 1852-1854 par Antoine Charma de la Société des antiquaires de Normandie[B 1]. La population avait remarqué la pauvreté de la végétation sur le site, et la société des antiquaires de Normandie profite d'un changement de propriétaire pour négocier financièrement et « un peu cher » la possibilité d'y effectuer des recherches archéologiques[K 4].

La société savante fondée par Arcisse de Caumont vote 100 francs de subvention pour ces recherches, puis une autre somme de 500 francs[I 2]. La somme totale engagée par la société savante se monte selon Antoine Charma à 1 700 francs[K 5]. La population locale, « nécessiteuse », est engagée sur ces chantiers[K 6]. L'édifice est « assez bien décrit et observé pour l'époque » selon Christian Pilet[H 1].

Les vestiges dégagés ont été enterrés après que les fouilles aient pu permettre de lever un plan de l'édifice. Le site précis de l'édifice est oublié peu à peu[A 1] et sa localisation longtemps problématique[B 1]. Le problème est lié à une mention vague du site précis par les inventeurs du site, « au lieu-dit Le Jardin Poulain, à l'est du manoir du chevalier de la Palue »[H 1].

Protection des vestiges et travaux depuis la fin du XXe siècle

Photographie d'un champ avec une butte à l'arrière-plan et un bouquet d'arbres
Site du théâtre en 2021 : il est situé précisément face au parking en haut à droite.

Une photographie aérienne est prise par l'I.G.N. en 1947[H 2]. Une prospection magnétique réalisée par l'archéologue Christian Pilet en mars 1982 donne des indices de localisation[C 2],[H 3]. La localisation est précisée après une fouille en 1995[B 1].

Les fondations de l'édifice sont retrouvées lors de fouilles au début du XXIe siècle[A 1].

Les ruines du théâtre gallo-romain bénéficient de deux types de protection : les vestiges contenus au lieu-dit du Jardin Poulain sont classés monument historique le , alors que ceux retrouvés au lieu-dit de l'École sont seulement inscrits le [2].

Description

Deux étapes dans la construction de l'édifice ont été mises en évidence par les fouilleurs. Il comprend « les éléments habituels du théâtre classique »[H 1].

Premier édifice

Le premier édifice est mal connu car il a en majeure partie disparu lors des aménagements ultérieurs[B 1].

Les fouilles ont permis de mettre au jour le mur de façade et le postscaenium du premier théâtre : le mur de façade est en petit appareil calcaire. Le bâtiment identifié comme le bâtiment de scène mesurait 7,40 m de long et large de 2,80 m et les vestiges sont constitués de grès de May. Le plan de l'édifice, en arc de cercle outrepassé, est proche des édifices de Sanxay ou du Vieil-Evreux[B 1].

La cavea du premier édifice avait un diamètre de 67 m[E 1].

Le premier théâtre de la ville comportait une scène d'une superficie de 50 m2[A 1].

Théâtre à arène

Le plan du second théâtre n'est pas connu intégralement du fait des fouilles anciennes et incomplètes : les circulations internes, les locaux de service ou l'angle sud-est ne sont pas connus[B 1].

L'édifice, dans sa seconde version, comporte des gradins et une arène de 60 m2[A 1]. Les gradins étaient « certainement » en bois et orientés au sud[C 2]. Les fouilleurs ont trouvé une quantité importante de bois carbonisé[B 1],[K 7]. Christian Pilet émet l'hypothèse que le premier rang de gradins, destiné aux membres les plus éminents de la cité, était en pierre[H 1].

Le diamètre de la cavea est alors de 80 m[E 1]. L'édifice viducasse, loin des dimensions du théâtre de Lillebonne avec ses 148 m de diamètre, appartient à la catégorie d'édifices de taille moyenne comme à Valognes, Lyons-la-Forêt ou Saint-André-sur-Cailly[F 2]. La cavea est un arc dissymétrique [B 1]. Vingt contreforts ont été retrouvés[B 1],[I 3]. La façade devait avoir une longueur entre 66 m et 70 m[B 1]. Le mur de la cavea est irrégulier, avec une largeur allant de 0,65 m à 1,30 m[B 1].

Le bâtiment de scène mesure 14 m et profond de 6 m à 7,50 m soit une surface de 50 m2[B 1].

L'arène est une « fausse ellipse » mesurant 29 m ou 31 m sur 25 m pour une surface d'environ 610 m2[B 1].

Les gradins dans le théâtre gallo-romain étaient partiellement soutenus par des voûtes car l'édifice tirait profit de la pente naturelle[F 3]. A Vieux, les fouilles ont livré à l'angle sud-ouest six exèdres semi-circulaires jouant ce rôle de soutien, comme à Augst, Fréjus ou Lutèce[F 4].

Une galerie de circulation large de 3 m à 3,50 m entourait le théâtre[F 1]. Deux couloirs larges de 3,10 m pour l'un situé à l'est et 3,80 m pour celui situé à l'ouest[B 1].

L'édifice était construit également en calcaire et marbre de Vieux[A 1].

L'estimation de la contenance de l'édifice a varié depuis le XIXe siècle. Les premiers fouilleurs, dont Antoine Charma, l'estiment à 3 500 places[C 2],[B 1] ou 3 550 places[K 8]. Christan Pilet reprend cette capacité d'accueil[H 1]. Le théâtre contenait 6 000 places assises[3]. La capacité de l'édifice est estimée en 2021 entre 5 700 et 7 600 personnes[A 1] suivant une nouvelle méthode de calcul[B 1].

Interprétation

Édifices de spectacles dans l'espace de la future Normandie

Le théâtre est essentiel dans la Rome antique et dans l'espace de la Normandie actuelle[F 5], chaque membre de la société pouvant assister aux spectacles[A 1].

Les théâtres étaient le site des tragédies, comédies, mimes et pantomimes ; les amphithéâtres étaient le siège des combats de gladiateurs ou de chasses[F 5]. Les courses de chars étaient également populaires mais aucun cirque, lieu habituel de ce type de spectacles, n'a été retrouvé dans la Normandie actuelle[F 5]. Les représentations de jeux de gladiature sont connues dont une statuette en provenance de Lillebonne et conservée au musée des antiquités de Rouen ; un bol trouvé à Trouville-en-Caux présente pour sa part une course de chars. Ces objets sont issus du « commerce de longue distance »[F 6].

Les spectacles avaient lieu les après-midis, la population pouvant aller dans les boutiques ou dans les ateliers artisanaux présents dans le quartier[A 1].

Les spectateurs étaient installés sur des gradins dans la cavea, les meilleures places proches de la scène étaient réservées aux membres les plus notables de la communauté[F 3].

Les édifices de spectacles devaient contribuer à la romanisation des campagnes gauloises[F 5]. Le théâtre est un des éléments de diffusion de la romanisation[F 6].

Édifice avec les spécificités du théâtre gallo-romain

Les théâtres témoignent de la romanisation de la Gaule et de l'adaptation au contexte local[F 6]. Le théâtre est lié à des fêtes religieuses[F 7] et les édifices ont une autre signification qu'un simple édifice de loisirs. Une soixantaine de théâtres sont connus dans l'espace de la Gaule chevelue[L 1].

La Gaule connaît selon Élisabeth Deniaux « l'invention d'un nouvel espace théâtral » : l'édifice, très coûteux, est « un monument de prestige, une construction ostentatoire ». Les matériaux et la main d’œuvre nécessaires sont très importants. Il prend appui sur les collines[F 8]. Jean-Claude Golvin qualifie le théâtre gallo-romain comme d'« une architecture relativement économique »[L 1]. Les édifices théâtraux, même dans les petites communautés, sont rarement petits[F 3].

Le théâtre gallo-romain est un « édifice mixte » pouvant abriter tant les spectacles théâtraux que les jeux d'amphithéâtre[F 1].

Le plan du théâtre de Vieux se rapproche de celui de Lillebonne, avec une « aire plane elliptique »[F 1]. Il « rappelle étonnamment » celui de Lisieux d'après Pierre Jeanjean[G 1].

Spécificités du théâtre de Vieux

Le théâtre semble mettre en avant les spectacles d'amphithéâtres par rapport à la scène destinée aux spectacles de théâtre. Pascal Vipard signale que « rien n'interdit de supposer l'existence d'une scène en bois amovible »[B 1].

Notes et références

  1. Géoportail
  2. a et b « Théâtre gallo-romain de Vieux », notice no PA00111801, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  3. « Dans les pas de Vieux-la-Romaine », sur Emag du Calvados, (consulté le )
  • Vieux-la-Romaine Aregenua
  • La cité d'Aregenua (Vieux, Calvados); chef-lieu des Viducasses. état des connaissances
  1. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s et t Vipard 2002, p. 31.
  2. Delaval 2004, p. 498.
  3. a b c et d Vipard 2002, p. 33.
  4. Vipard 2002, p. 30.
  5. Vipard 2002, p. 31-32.
  6. Vipard 2002, p. 32.
  7. Vipard 2002, p. 34.
  • Carte archéologique de la Gaule, 14. Le Calvados
  1. Delacampagne 1990, p. 79.
  2. a b c d et e Delacampagne 1990, p. 82.
  • Vieux / Aregenua (Calvados)
  1. a b c d et e Delaval 2004, p. 498.
  2. Delaval 2004, p. 497-498.
  3. Delaval 2004, p. 497.
  • Roman théâtres
  1. a b c et d Sear 2006, p. 223.
  • La Normandie avant les Normands, de la conquête romaine à l'arrivée des Vikings
  1. a b c et d Deniaux et al. 2002, p. 113.
  2. Deniaux et al. 2002, p. 111-112.
  3. a b et c Deniaux et al. 2002, p. 112.
  4. Deniaux et al. 2002, p. 113-114.
  5. a b c et d Deniaux et al. 2002, p. 109.
  6. a b et c Deniaux et al. 2002, p. 110.
  7. Deniaux et al. 2002, p. 111.
  8. Deniaux et al. 2002, p. 110-111.
  • Le théâtre romain de Lisieux
  1. Jeanjean 1971, p. 26.
  • Vieux antique (Araegenuae, Viducasses)
  1. a b c d e et f Pilet 1984, p. 71.
  2. Pilet 1984, p. 71-73.
  3. Pilet 1984, p. 68.
  • Bulletin monumental
  1. de Caumont 1854, p. 550.
  2. de Caumont 1854, p. 548.
  3. de Caumont 1854, p. 548-550.
  • La maison du « Bas de Vieux » une riche habitation romaine du quartier des thermes d'Aregenua (Vieux, Calvados)
  1. Vipard 1998, p. 8.
  • Rapport sur les fouilles pratiquées au village de Vieux près Caen (Calvados) pendant les années 1852, 1853 et 1854
  1. Charma 1855, p. 22.
  2. a et b Charma 1855, p. 28.
  3. Charma 1855, p. 24.
  4. Charma 1855, p. 22-23.
  5. Charma 1855, p. 6.
  6. Charma 1855, p. 7.
  7. Charma 1855, p. 43.
  8. Charma 1855, p. 45-46.
  • Le théâtre romain et ses spectacles
  1. a b et c Golvin 2013, p. 87.

Voir aussi

Bibliographie

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Ouvrages généraux ou sur d'autres sites

  • Florence Delacampagne, Carte archéologique de la Gaule, 14. Le Calvados, Paris, Éd. de la Maison des sciences de l'homme, , 166 p. (ISBN 2-87754-011-1). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Elisabeth Deniaux, Claude Lorren, Pierre Bauduin et Thomas Jarry, La Normandie avant les Normands, de la conquête romaine à l'arrivée des Vikings, Rennes, Ouest-France, . Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • Jean-Claude Golvin, Le théâtre romain et ses spectacles, Lacapelle-Marival, Archéologie nouvelle, , 153 p. (ISBN 979-10-91458-06-1).
  • Claude Groud-Coudray, La Normandie gallo-romaine, Cully, OREP éditions, , 31 p. (ISBN 978-2-915762-18-1).
  • Pierre Jeanjean, « Le théâtre romain de Lisieux », Le Pays d'Auge, vol. Février, no 2,‎ , p. 22-26. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • (en) Frank Sear, Roman théâtres : An architectural study, Oxford, Oxford University Press, , 609 p. (ISBN 978-0-19-814469-4, lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Michel Matter, « Particularités architecturales des édifices de spectacles en Gaule Lyonnaise », Spectacula 2. Le théâtre antique et ses spectacles. Actes du colloque tenu au Musée archéologique Henri Prades de Lattes les 27, 28, 29 et 30 avril 1989,‎ , p. 29-36 (lire en ligne, consulté le )
  • Filipe Ferreira, « Les édifices de spectacle à arène dans le nord-ouest des Gaules », Aremorica. Études sur l'ouest de la Gaule romaine, no 8,‎ , p. 57-71 (lire en ligne, consulté le )

Ouvrages sur le site archéologique de Vieux ou sur l'édifice

  • Dominique Bertin, « La topographie de Vieux - Araegenuae (Calvados), capitale de la cité des Viducasses, d'après les fouilles anciennes et les sondages récents », Annales de Normandie, nos 27-2,‎ , p. 131-150 (lire en ligne, consulté le )
  • Arcisse de Caumont, « [sans titre] », Bulletin monumental, no XX,‎ , p. 548-556 (lire en ligne, consulté le ). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Antoine Charma, « Rapport sur les fouilles pratiquées au village de Vieux près Caen (Calvados) pendant les années 1852, 1853 et 1854 », Mémoires de la société des antiquaires de Normandie, no XX,‎ , p. 458-485 (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Éric Delaval, « Vieux / Aregenua (Calvados) », dans Capitales éphémères. Des Capitales de cités perdent leur statut dans l’Antiquité tardive, Actes du colloque Tours 6-8 mars 2003, , 497-500 p. (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Éric Delaval, « Vieux, antique Aregenua : actualité de la recherche », Revue archéologique, no 1,‎ , p. 215-220 (lire en ligne, consulté le )
  • Mélanie Demarest, Aurore Lacroix et Marc-Antoine Thierry, « Un dépotoir du IIIe siècle apr. J.-C. dans le quartier du théâtre à Vieux (Calvados) », Aremorica. Études sur l'ouest de la Gaule romaine, no 9,‎ , p. 39-70 (lire en ligne, consulté le )
  • Vincent Hincker, « De la ville antique au village médiéval. Déclin de la capitale de la cité des Viducasses, Vieux (Calvados) du IVe siècle à l'an Mil », Annales de Normandie, nos 57-1-2,‎ , p. 3-26 (lire en ligne, consulté le )
  • Karine Jardel, Jean-Yves Lelièvre et Sidonie Rican, Vieux-la-Romaine Aregenua, Bayeux, OREP éditions, , 64 p. (ISBN 978-2-8151-0620-7). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Karine Jardel, Sophie Quévillon, Cécile Germain-Vallée, Laurence Jeanne, Laurent Paez-Rézendé et Grégory Schütz, « Le sous-sol des villes antiques de Basse-Normandie exploré par la géophysique : les exemples de Bayeux (14), Fontaine-les-Bassets (61), Valognes (50) et Vieux (14) », Aremorica. Études sur l'ouest de la Gaule romaine, no 7,‎ , p. 7-35 (lire en ligne, consulté le )
  • Service archéologie du département du Calvados, « Vieux-la-Romaine, nouvelles découvertes et reconstitutions », Archéologia, t. 535,‎ , p. 62-67.
  • Christian Pilet, « Vieux antique (Araegenuae, Viducasses) », Revue archéologique de l'ouest, nos 1984-1,‎ , p. 63-84 (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Pascal Vipard, La cité d'Aregenua (Vieux, Calvados); chef-lieu des Viducasses. état des connaissances, Château-Gonthier, (ISBN 9782913993051). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Pascal Vipard, La maison du « Bas de Vieux » une riche habitation romaine du quartier des thermes d'Aregenua (Vieux, Calvados), Caen, , 125 p. (ISBN 2950649610).
  • Pascal Vipard, « Un exemple d'échec urbain en Gaule Lyonnaise : Aregenua, chef-lieu des Viducasses (Vieux, Calvados) », dans Pierre Bouet et François Neveux, Les villes normandes au Moyen Âge (Actes du colloque de Cerisy-la-Salle (9-)), Caen, Presses universitaires de Caen, série « Symposia », , 392 p., sur academia.edu (lire en ligne), p. 29-44.

Articles connexes

Liens externes

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